10 avril 2006

Le maestro...


Il y a aujourd'hui quatre ans que Joaquín Vidal nous a laissés. Quatre ans déjà et il me semble que c'était hier.

Le dimanche 9 avril, une partie de l'afición madrilène s'est retrouvée à l'entrée du tendido 10, ou une plaque commémorative a été apposée. C’est devenu une coutume, on y dépose quelques fleurs et on évoque la mémoire de cet incontournable et talentueux écrivain.

Un de ces jours je vous raconterai comment cela s’était passé et comment ceux qui ont eut l’initiative de cet azulejo ont dû se montrer déterminés. Joaquín Vidal nous manque et je me dois de dire que depuis son départ, je ne lis plus grand-chose, je feuillette quelques rares articles à l’occasion de corridas particulières mais guère plus.

« Después de Vidal el diluvio » avait alors écrit le polémique Navalón, lui aussi depuis disparu. On ne peut pas dire qu’il avait tort. La critique taurine en 2006 n’est guère reluisante et on ne peut pas dire que la relève pointe le bout de son nez.

Joaquín Vidal nous manque… vraiment…