19 septembre 2008

Sospechoso de pitones


Novillos de Manolo González, faiblards, nobles, mobiles. Une novillada sans histoires. Je n’ai pas particulièrement photographié, plutôt tenté du très gros plan, qui relève plus du hasard qu’autre chose. Mais c’est amusant.
Pour ce genre de cornes, les journalistes espagnols - pas tous non plus - disent « sospechoso de pitones ». Evidemment dans ces cas-là on n’affirme rien, on ne démontre rien. Au mieux, ou au pire plutôt, on fait partager ses doutes.

« El quinto, sospechoso de pitones y áspero, no le dejó lucirse. » Joaquín Vidal, El País – 05/02/1988.

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