04 décembre 2008

Aitor Lara


La chose vient de tomber dans ma boîte mail, sans prévenir. C’est tout chaud. Je ne connaissais pas Aitor Lara. Ce n’est pas plus mal remarquez. Ça va me permettre de dévorer tout d’un trait cet univers photographique comme on les aime ici, à Camposyruedos. Le plaisir de retrouver aujourd’hui encore la richesse de l’argentique, ce grain et surtout ces nuances de gris encore inégalées par le numérique. Aitor Lara vient d’atterrir dans ma boîte mail pour un travail très andalou, une commande de la Maestranza de Séville. Vous cliquez sur portfolio, puis sur Maestranza. Il va de soi qu’il n’y a aucune raison de se limiter à cette rubrique andalouse.
¡Muchas gracias Pepina! Aitor Lara, c’est par là…