09 octobre 2010

Mario Vargas Llosa


Vous le savez tous, Mario Vargas Llosa est le dernier Prix Nobel de littérature.
Du coup, forcément, certaines choses vont prendre une certaine ampleur.
Et puis un Prix Nobel aficionado, ça a quand même une autre gueule que Mylène Demongeot ou Paulette Dubost. Ne parlons même pas de BB. Bon allez, je vais laisser ça à nos courageux pourfendeurs d’antis. Du grain à moudre inespéré pour eux.
Une autre ampleur disais-je.

¿Por qué, en el reciente debate suscitado por este asunto, quienes defendemos las corridas hemos estado tan reticentes y tan parcos y prácticamente dejado el campo libre a los valedores de la abolición? Por una razón muy simple: porque nadie que no sea un obtuso o un fanático puede negar que la fiesta de los toros, un espectáculo que alcanza a veces momentos de una indescriptible belleza e intensidad y que tiene tras él una robusta tradición que se refleja en todas las manifestaciones de la cultura hispánica, está impregnado de violencia y de crueldad.

Le Nobel m’excusera pour cette traduction maladroite :
« Pourquoi, dans le récent débat sur l’interdiction, nous qui sommes les défenseurs des corridas avons été aussi réticents et aussi laconiques, laissant le champ libre aux partisans de l’abolition ?
La raison en est simple : parce que toute personne qui n'est pas obtue ou fanatique ne peut nier que la corrida, un spectacle qui atteint parfois des moments d'une indescriptible beauté et intensité, porte en elle une forte tradition qui se reflète dans toutes les manifestations de la culture hispanique, et qui est imprégnée de violence et de cruauté. »

Ça va mieux en le disant, non ? Heureusement qu’il est nobelisé le type...